Titre : | LO'Eglise en marche (2014) |
Auteurs : | Michèle Clavier, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Signes d'aujourd'hui (n° 236, Novembre - Décembre 2014) |
Article en page(s) : | p. 78-79 |
Langues: | Français |
Note de contenu : |
Compté au nombre des "temps forts" de l'année liturgique, le Carême a une dimension ecclésiale importante. Mais le cheminement personnel l'éclipse parfois cette dynamique de conversion communautaire, à redécouvrir...
L'histoire des origines du Carême enseigne au moins deux éléments incontestables : il dure quarante jours et il prépare à Pâques. Le chiffre 40 a, dans la Bible, le sens symbolique fort de l'épreuve et de la préparation : ce sont les quarante années que le peuple a passées au désert, les quarante jours que Jésus y a vécus lui aussi. En Orient également a existé une pratique d'ascèse pour se préparer à une fête importante. Et, dès les premiers siècles, Pâques étant la grande célébration de l'Eglise, le Carême a eu une portée communautaire, ecclésiale. |