Résumé :
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Une tunique tibétaine d'un rouge chaleureux, un foulard égyptien noué généreusement autour du cou, Alain Alexandre est, en soi, un tour du monde. L'homme additionnes les racines : guadeloupéenne, amérindienne, provençale...Après avoir travaillé, à travers l'Europe et aux 2tats-Unis, avec les plus grands (Béjart, Balanchine, Liebermann), ce danseur professionnel a enfin posé ses valises, il y a dix ans à Paris. Et dans la prière. "Un jour, pour travailler, j'ai quitté mes chaussons de danse classique. Cela a été une véritable expérience de dépouillements", raconte-t-il. Un tournant pour retrouver l'essentiel, pour entamer une quête spirituelle. "Je vivais dans les studios de répétition, entre deux représentations, entre train et avions.J'avais besoin de me rapprocher d'une existence normale", poursuit-il...
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