Note générale :
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Vingt ans après le sommet de Rio, qu'en est-il des négociations internationales sur l'environnement ? Force est de constater que bien peu de choses ont été faites, si bien que c'est un choix par défaut qui s'impose: faute d'investir aujourd'hui, on reporte les décisions à demain. ce qui veut dire que nous acceptons de fait une "écologie à deux vitesses" entre les pays qui auront les moyens de limiter les dégâts de la crise environnementale et ceux qui seront démunis face aux risques écologiques.
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