Note générale :
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A partir d'une proposition de "théologie analogique " , l'auteur plaide pour une démarche théologique qui reconnaisse l'humain comme capable de raison, de se questionner, de réfléchir avec d'autres et de se laisser déplacer. Cette démarche le reconnaît de plus comme porteur de capacités à concourir au langage théologique, même sans s'y rapporter dans une posture confessante car, dans la visée de construction ici postulée, ne devient-il pas co-créateur et du discours théologique et d'un discours de sens partageable par tous ? Telle serait également la condition pour que la théologie puisse accompagner l'action humaine, pour autant qu'elle en accepte la temporalité avec ce qu'elle implique d'inaccomplissement, tant de l'action que du sens et de sa parole.
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