Note générale :
|
En analysant le dernier ouvrage de Judith Hermann , cinq nouvelles qui évoquent la mort d'un proche ou plutôt le fait de survivre de rester-l'auteur pointe derrière une apparente impassibilité, le désespoir souterrain des personnages, l'impuissance du langage face à la dernière extrémité. Il tente de comprendre le rôle que joue cette approche dépourvue de toute forme de signification auprès de ses contemporains et de définir l'espace théologique dans lequel peuvent se situer de tels récits.
|