Note générale :
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Une louange universelle: Qui penserait que ce chant s'est élevé du cœur d'un homme souffrant dans son corps et à moitié aveugle ? En 1225, François d'Assise s'est retiré, il ne lui reste plus qu'un an à vivre. Stigmatisé, il est totalement uni au Christ, offert pour le salut des hommes. Détaché de tout désir de captation, il contemple la splendeur de la création rendue à son auteur. La limpidité divine qui transparaît dans cette prière conduit à une attitude de louange universelle qui rappelle le Cantique des trois enfants dans la fournaise (Dn 3,52-73).
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