Note de contenu :
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Pasteur et militant écologiste, Stéphane Lavignotte tente ici de saisir les racines théologiques de la crise écologique. Il montre en quoi deux millénaires de judéo-christianisme ont instillé dans notre vision du monde l’idée d’une humanité supérieure à la nature, au reste du vivant. Mais la religion des terrestres ne se réduit pas à son versant anthropocentriste.
De François d’Assise au Pape François, en passant par Henry David Thoreau et Jacques Ellul, une théologie chrétienne plus souterraine est venue nourrir l’écologie. Alors, Dieu est-il écolo ? La réponse est éminemment complexe : l’avenir de l’écologie, démontre Lavignotte, se joue aussi au niveau de nos imaginaires.
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