Note de contenu :
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En traitant des relations de la musique avec le sacré, c'est toute la conscience contemporaine, soi-disant désacralisée, que le père Martin fait vibrer avec sa Muse en péril. Point d'ennui à craindre de cet essai pétillant, spirituel, passionné, lucide. Pour résoudre un problème actuel, qui met en cause notre culture aussi bien que la liturgie, de grands coups d'ailes nous transportent de la musique antique à celle de la Renaissance, du Romantisme, du jazz et de la musique sérielle. Des rapprochements et des contrastes nous lancent dans une merveilleuse poursuite : celle du critère introuvable de l'art et du sacré. Membre de l'Oratoire depuis 1947, fondateur de la société des chanteurs de Saint-Eustache, le père Martin a dirigé plus de trois cents concerts en France et à l'étranger, interprétant aussi bien la Messe en Si de J.S Bach que Jeanne d'Arc au bûcher d'Arthur Honegger.
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