Note générale :
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Pendant vingt siècles, dans une France fortement marquée par l'empreinte du christianisme, les rapports avec le judaïsme ont été caractérisés principalement par une hostilité affirmée. Il se constitue pourtant, dans l'Entre-Deux-Guerres, un courant d'amitié entre les juifs, qui s'applique à dénoncer les doctrines et actes malveillants dont ils étaient victimes. On parle de philosémitisme (du grec philos, "ami", c'est-à -dire "ami des Sémites"). Qui sont donc ces hommes et ces femmes qui prennent la défense des juifs ? Quels sentiments les poussent à avancer à contre-courant de l'antisémitisme ambiant et surtout de l'antijudaïsme doctrinal enseigné depuis presque deux millénaires par l’Église ?
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